Sword Art Online
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Sword Art Online

RPG Français sur le monde de SAO !
 
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 H e a v e n s ~ E - Enfin. Bonjour ... je .. suis Ao - Heavens ! Je suis Heavens !

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Aoki Suzume

Aoki Suzume


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MessageSujet: H e a v e n s ~ E - Enfin. Bonjour ... je .. suis Ao - Heavens ! Je suis Heavens !   H e a v e n s ~ E - Enfin. Bonjour ... je .. suis Ao - Heavens ! Je suis Heavens ! Icon_minitimeJeu 6 Aoû - 19:28

Profil


☆ Nom ~ Suzume,
☆ Prénom ~ Aoki,
☆ Surnom ~ Ange - Ao - ChibiChan,
☆ Âge ~ 13 ans
☆ Sexe ~ Masculin,
☆ Date de naissance ~ 28 Août,
☆ Orientation Sexuelle ~ Homosexuel,
☆ Nationalité ~ Anglaise  - Japonaise,
☆ Pays d'origine ~ Angleterre,
☆ Peur ~ Noir,
☆ Phobie ~ Hôpitaux, Piqûres, Seringues, Sang,
☆ Allergies ~ Ce n’est pas une allergie, mais il fait une intolérance aux lactoses,
☆ Passions ~ La cuisine, l’écriture, le dessin. Bref. Tout ce qui est “banal”.



Psychologie & Physionomie

☆ Caractère ~ De nature discrète, que ce soit dans la vie réelle comme dans le jeu, Aoki ne se fait absolument jamais remarqué. Mais vraiment. Le jeune garçon n’a jamais trop aimé parler. Souvent, quand on regarde autour de soi, on le voit, là, à observer son entourage et à rester silencieux. Sans broncher, sans ciller. Mais ce n’est pas non plus de sa faute un sens. Ce n’est pas parce - qu’il est toujours là, comme un mort, qu’il n’aime pas parler aux autres. Au contraire. Il trouve cela vraiment plaisant et dès qu’il trouve une personne agréable avec qui parer, en le voit regagner le sourire et devenir un vrai petit gamin curieux de tout. Maiis .. quelque - chose bloque malheureusement à chaque fois et fait que les relations d’Aoki s’arrêtent très très vite. Il ne sait jamais pourquoi et il ne se doute pas qu’il fait quelque - chose de mal, et à est le problème. De son point de vue, tout ce qu’il cherche c’est de faire connaissance. Pour lui, ses “amis” s’énervent beaucoup trop facilement et prennent mal tout ce qu’Aoki dit.


Alors que, du point de vue de Kagi, celui - ci vous dira qu’Aoki ne mâche pas réellement ses mots et que quand il pose des questions, il ne se rend pas compte de ce qu’il peut vraiment dire. Il se trouve que, si par pur hasard, vous avez une voix extrêmement grave alors que vous êtes actuellement une fille; le jeune adolescent vous demandera avec la plus grande innocence qui soit si vous êtes un travesti ou non. Pire encore, il pourrait vous demander si vous n’avez pas été un homme dans le passé et que vous avez juste cherché à changer de sexe un beau jour. Comme ça. Par pur envie. C’est ainsi, on n’y peut rien si Aoki est un peu trop innocent pour voir le mal nul part et penser que tout le monde il est beau, que les filles chient des arc - en ciels et pètent des chansons. Il ne peut pas s’empêcher de poser des questions sur ce qui le tracasse. Et c’est pour ça que, sous le regard attentif de son meilleur ami, il ne faut pas mal prendre les propos de l’Ange vu que ce n’est en réalité jamais voulu. Tout ce qu’Aoki désire en réalité faire c’est d’apprendre à vous connaître.


Autre chose de lui ? Hum. Eh bien. Il pleure énormément. Et quand je dis énormément, c’est vraiment BEAUCOUP. Il pourra même vous arriver de vous demander comment est - ce que ce petit fait pour avoir autant d’eau dans son corps. Pour lui, à chaque fois que quelqu’un s’énerve, c’est qu’elle est colérique et toujours de mauvaise humeur. Qu’elle ne l’aime pas en faite. Il n’arrive pas à comprendre que c’est de sa faute et pense juste que tout est mal prit parce - que ce garçon là, s’est énervé à sa question. Du coup, du point de vue du jeune adolescent, une personne qui s’énerve rapidement ira toujours lui gueuler dessus. Il se trouve que l’influence de ses parents pensant en permanence au Diable ont fait du petit garçon un parano qui n’arrive pas à assumer et qui pense que tout ce qu’il dit est normal.
Ainsi, il suffit juste de dire une phrase qui tourne mal, avec un ton un peu trop aggressif ou même de le bouder une micro - seconde pour que le jeune garçon se mette à fondre en larmes. Comme ça. Tout d’un coup. Sans prévenir.
Mais il ne faut pas croire que c’est la seule raison pour laquelle Aoki pleure. Quand il voit enfin que c’est lui le fautif, il éclate en sanglot. Il peut pleurer pour beaucoup de raisons, qu’importe ce qu’il ressent. Que ce soit de la joie, de la colère, de l’envie, du désir, du stress, de l’anxiété, i y aura toujours une raison pour lui pour qu’il se mette à pleurer.


Ainsi, de peur de mettre en rogne son entourage, Aoki n’ose presque plus rien dire à voix haute sur ses goûts. Il ne dit presque jamais ce qu’il n’aime pas et ce qu’il trouve gênant, embarassant, incompréhensible. Il perd ses moyens facilement, certes, mais il ne vient pas vous dire que c’est de votre faute s’il pleure. Il dira au contraire qu’il trouve ça amusant même s’il ne le pense pas Au grand jamais, il vous dira que cette seringue lui fait peur et qu’il veut juste aller se cacher et ne plus jamais sortir de son trou. Au contraire, il essaiera de se contenir. Quitte à faire une crise de panique intérieurement ou à se mordre la lèvre jusqu’au sang.
Il n’émet jamais le thème de la religion étant donné qu’il déteste tout ce qui se rapporte à Dieu. Oui. Il la déteste, plus que tout. Il a beau essayé, il n’a jamais compris pourquoi on vient à vénérer un homme, un esprit, une chose qui n’existe même pas en réalité. C’est un fait qui lui passe totalement par dessus la tête mais, étant donné que ses parents sont de fervents croyants, vous ne l’entendrez jamais critiquer les croyances. Et puis, même s’il déteste ce genre de chose, il reste respectueux et estime que les goûts de chacun n’ont pas à être critiquer par des inconnus.


Hormis le fait qu’il pleure pour un rien sans jamais assumer le fait que c’est de sa faute si tout le monde est contre lui. On peut ajouter à sa haine de la religion la peur des hôpitaux. Rien qu’à entendre le mot “hôpital” vous verrez Aoki frissonner de tous les membres de son corps et se renfermer légèrement sur lui - même. Il déteste absolument tout dans ces bâtiments. Que ce soit les seringues, les piqûres ou encore le sang, il ne supporte pas du tout la vue de ces trois éléments. Premièrement, le sang. Si vous osez lui montrer du vrai, du sang rouge, qui dégouline avant de tomber sur le sol, Aoki ne pourra s’empêcher de vomir.
Déjà pâle, il perd toutes ses couleurs et peut disparaître pendant plusieurs jours en évitant le monde entier juste à cause d’une petite gouttelette de sang.
Les seringues et les piqûres alors ? C’est pas mieux à vrai dire. A ces moments là, son coeur arrête tout simplement de battre. Là, il a beau se retenir, il est obligé de dire que ça le dérange si on veut lui faire un vaccin ou quoique ce soit d’autre. Il en a une réelle phobie et est capable de s’enfermer plusieurs jours dans sa chambre, à griffer l’endroit où il s’est fait piquer sans s’arrêter et à pleurer toutes les larmes de son corps.  Il y a des fois où, rien que pour le soigner, on est obligé de l’endormir à cause de ses crises. Ne parlons pas des prises de sang s’il vous plaît.


Passons maintenant au bon côté des choses ! Car il n’est pas du tout désagréable le petit ! Gourmand, Aoki adore faire la cuisine. Il passe la plupart de ses journées à cuisiner de bons petits plats pour ses parents et à offrir de la nourriture à Kagi. Ca lui fait toujours plaisir et il regagne son sourire en voyant la joie qu’il peut apporter aux autres. Ce qui est meilleur que tout, c’est quand Kagi accepte de cuisiner avec lui. Il adore la compagnie, il pourrait passer ses journées dans les bras des autres que ça ne le dérangerait pas. Enfin. C’est ce que l’Ange dira.
Il a beau s’amuser comme un petit fou, en réalité, il n’est pas du tout tactile mais se force à l’être en compagnie d’inconnu pour faire croire à son meilleur ami que prendre dans ses bras quelqu’un ne lui pose aucun problèmes. Ainsi, il peut profiter de la compagnie de l’homme jusqu’au bout. Que ce soit les baisers, les câlins, les marques d’affection, il a finit par en avoir l’habitude mais frissonne de dégoût quand il n’est pas d’accord. Encore plus pour les baisers. Il accorde une très grande importance envers ces marques d’amour mais n’osera jamais vous le dire. Pire même, si vous vous mettez à la caresser, il ne dira jamais rien de peur de vous contredire et d’ainsi vous blesser.


En somme, il préfère penser aux autres et à leurs pensées plutôt qu’à ses propres sentiments.


Avec Kagi, c’est différent. Très tactile, Aoki adore tenir sa main, il adore respirer son odeur, nicher sa tête dans ses cheveux, se faire caresser, avoir la moindre parcelle de sa peau collée à celle de son ami. Tout ce qui l’importe et d’être en sa compagnie en réalité. Et c’est pour Aoki le plus grand des bonheurs que de pouvoir passer la plupart -voire la totalité- de son temps avec lui.
Une de ses plus grandes qualités est, sans hésitation, son innocence et sa pureté. Il ne comprendra jamais les sous - entendus qu’on lui fait, même si c’est à longueur de journée. Accroché à l’amour et à ses sentiments, il accorde beaucoup d’importance sur le respect dans un couple et sur la communication. Ainsi, il pourrait passer sa journée à complimenter son meilleur ami si c’est pour le rassurer. Il est romantique sans le savoir en même temps. Il pourrait même venir avec un bouquet de fleurs dans la main, avec une grosse boîte de chocolats fait maison dans l’autre et en costard - cravate rien que pour les beaux yeux de sa moitié. Ce qu’il n’a encore jamais fait, encore heureux pour sa fierté.


Enfin, au niveau des jeux Aoki …. euhm. Aoki ne connait absolument rien aux jeux. N’y ayant jamais joué, son vocabulaire est très pauvre et il reste le même qu’en réalité.



☆ Physique ~ Attendant patiemment son meilleur ami chez lui, Aoki, dans le monde réel, se contentait de préparer les affaires pour commencer à jouer. Les cheveux légèrement en batailles, la première chose qu’on remarquait chez lui était sa miniscule taille. Mesurant pas moins d’un mètre cinquante, c’était vraiment compliqué de le remarquer quand on pouvait par exemple mesurer un mètre quatre - vingts. Mais il fallait l’avouer, on s’y habituait avec le temps.
De sa petite taille, il avait beau avoir treize ans, il en paraissait facilement dix quand il le voulait. Avec ses cheveux châtains clairs partant dans des reflets roux et ses grands yeux bleus brillant d’innocence, on se demandait même si , des fois, ce n’était pas une fille en réalité. Le garçon avait beau s’habiller normalement, il n’en restait pas moins qu’il avait une apparence effeminée. Ses cheveux n’étaient pas courts, au contraire, ils devenaient de plus en plus longs chaque année et ça pouvait en perturber plus d’un. Allait -il avoir les cheveux longs au final ou bien est - ce qu’il avait enfin trouvé une bonne longueur de cheveux ? Personne le savait. Aha.
Ensuite, la seconde chose que l’on remarquait chez lui était à quel point il pouvait être pâle. C’était la blancheur incarnée, plus blanc que n’importe quoi, bien des gens lui avaient demandé s’il n’était pas malade ou s’il sortait de temps à autres pour bronzer au soleil. Aucune réponse de sa part bien évidemment. Tant que ses parents étaient heureux de ce à quoi il ressemblait, Aoki s’en fichait éperdumment. Il était apparemment plus pur, plus innocent ainsi. Et il ne voulait pas changer de peur de se faire battre pour la énième fois.
Car oui, le gamin se faisait battre. Malgré une peau parfaite et sans impureté, il fallait juste soulever son haut pour voir que, dans son dos, des traces de coups de fouets, de ceinture l’avaient profondément marqués et que, sur son torse, il y avait encore des bleus ici et là.
Avec sa moue enfantine et joyeuse, on ne s’en doutait pas en faite. Il avait la moue d’un enfant qui ne connaissait encore rien à la vie, et c’était normal puisqu’il avait été chéri dans l’innocence. On ne voulait pas le salir et on n’avait jamais essayé de le salir vu qu’il ne comprenait rien malgré tout.
Une croix toujours autour de son cou, on comprenait déjà que c’était un chrétien. Oui. Voilà ce qu’était Aoki de la vraie vie, un garçon normal, quoique mignon, mais qui ne voulait pas s’en rendre compte. Tout ce qui l’importait était d’être attirant pour Kagi et de plaire à ses parents pour remplacer ses jumeaux.


Enfilant son “casque”, Aoki entra aussitôt dans un jeu en prenant tout d’abord l’apparence d’une fille. Mais cette apparence disparu lors de la dite annonce du créateur. Sans se soucier de cela, Aoki n’en avait rien à faire en vérité. Tout ce qui l’importait était cette fois - ci de s’habiller de façon assez mignonne, quitte à ce qu’on le confonde avec une fille.
Avec des chaussures compensées de 4cm, il trichait un peu sur sa taille mais restait relativement petit. Peu après, il avait acheté des oreilles de loups car il trouvait ça drôle. Car oui, pour lui, tout restait drôle et mignon. Il restait avec des vêtements simples, mais toujours un peu plus colorés, effeminés que la normale. Oui voilà. C’était juste un Aoki normal qui n’avait pas à porter la croix comme il le faisait habituellement.
☆ Particularités ~ Il a toujours des oreilles de loup sur sa tête pour pouvoir augmenter son ouïe et sa réactivité. Il a aussi une chaîne autour du poignet qui lui permet d’avoir sa force doublée, ce dont il n’a toujours pas compris. Il trouvait juste ça mignon le jour où il l’a acheté.  



Histoire

L’ambiance chaleureuse se faisant pleinement ressentir, les couleurs vives et dorées du jour illuminant le regard du jeune adolescent, Aoki venait d’entrer dans un monde qu’il ne connaissait absolument pas. Le monde de Sword Art Online. Tout était différent du monde réel, il fallait bien l’avouer. Et il ne comprenait absolument rien à ce qu’il pouvait se passer actuellement. Comment se faisait - il que des dragons volaient là ? Qu’était - ce que ces barres de vie ? Le pauvre garçon avait un peu du mal à suivre sur le coup étant donné que c’était sa première fois. Dès son premier jeu, il s’était décidé de jouer un personnage sortant du lot pour un garçon pur et innocent comme lui : une fille. Pourquoi ? Eh bien, il s’était dit que, autant jouer un personnage petit, autant prendre une fille qui allait pouvoir porter des talons sans que ça ne soit trop mal vu. Et c’était amusant pour lui de vivre dans le corps de l’autre sexe. Bien évidemment, ce jeune garçon ne pensait absolument pas aux profits qu’il pouvait avoir au final. Sword Art Online, c’était ce qu’on pouvait dire, le tout premier jeu du jeune garçon. Et, ne connaissant rien à rien, il s’assit là, dans un coin d’herbe, à repenser à ce qu’il avait pu vivre avant d’en arriver là.


Né un vingt - huit août sous une chaleur estivale, Aoki Suzume fut l’aîné d’une famille catholique, ayant ainsi énormément de responsabilités dès le début. Et dès le début, le petit châtain n’avait jamais cherché à décevoir ses parents, faisant comme ils le voulaient. La mère, Lunalys, et le père, Lucas, étaient tout deux de célèbres collectionneurs d’art. Ils avaient une collection assez fructueuses en ce qui concernait la peinture, la sculpture, la gravure, et même dans la photographie. C’en était tellement encombrant que durant toute son enfance, Aoki crut vivre dans un musée vivant qui était assez effrayant en un sens.
Dès qu’on entrait chez lui, on comprenait une chose : ses parents étaient de fervents croyants, ne jurant que par la Bible, par Dieu et par ses commandements. La croix à l’entrée le prouvait. Ils n’autorisaient absolument rien qui risquaient, ne serait - ce que d’un peu, d’enfreindre les lois du Créateur de l’Univers.


Chérissant leur enfant malgré tout, ce n’était pas comme si, à leurs yeux, une religion pouvait détruire une relation familiale. Au contraire. C’était ce qui apportait le bonheur, c’était ce qui tissait les liens entre les parents et l’enfant. Et puis, ils s’en fichaient bien en faite ! Aoki paraissait appliquer les règles à la lettre et ça ne posait absolument aucun problème. Tant que ses géniteurs étaient heureux de ce qu’il devenait, Aoki en était par “logique” tout aussi heureux.
Et, un an après, Aoki fut le grand - frère de deux jumeaux absolument craquant : Molly et Chô. Une fille et un garçon oui. Ils n’avaient beau ne pas se ressembler, c’était deux petits choux adorables qui sautillaient çà et là, qui s’amusaient comme des petits fous, qui criaient dans tous les sens au point de faire péter un plomb aux parents qui voulaient juste un peu de calme pour prier. Ils étaient toujours, mais vraiment toujours collés ensemble et avaient la mauvaise tendance de se moquer de l’aîné et de son apparence juvénile.
Les jeunes avaient à peine commencés à grandir que les jumeaux dépassaient largement leur grand - frère. Ils étaient en pleine forme, ils mangeaient énormément, ils sortaient tout le temps ensemble. A l’inverse, Aoki ne mangeait presque rien et tombait quasiment tout le temps malade. De plus, sa croissance lente et son rythme tout aussi long pour apprendre lui donnait un immense retard comparé à tous les autres enfants de son âge. Ce qui commençait sérieusement à inquiéter les parents, ignorants que chaque enfant pouvait avoir un rythme bien particulier. Ils se demandaient bien s’ils n’avaient pas enfanté un attardé ou pire encore, un handicapé.


Bon. Au plus grand soulagement de Lunalys et de Lucas, Aoki ne l’était pas. Enfin bon, lui il était très bien dans son traintrain quotidien, à lire en permanence des livres que ses parents lui achetaient et à dessiner ce que bon lui semblait bien. Ils avaient peur qu’Aoki ne perturbe leur quotidien. Ainsi, alors que tous les autres enfants de son âge pouvaient jouer à la GameBoy ou encore à la console, la famille Suzume avait l’interdiction de toucher à quoique ce soit qui pouvait les “divertir”. Croyants jusqu’au bout des ongles, les parents de cette petite famille étaient persuadés que ces consoles étaient l’objet du diable. C’était pour eux une chose absurde qu’on laissait aux pêcheurs pour qu’ils puissent se détacher de la société avant de plonger en Enfer. Il n’y avait que des jeux prônant Satan pour eux, et ils refusaient catégoriquement de laisser leurs enfants se faire corrompre de la sorte. C’était juste incompréhensible de voir autant de croyants, autant de leur proche se laisser tomber dans la déchéance ! Ne comprenaient - ils donc pas qu’ils portait blasphème à leur religion ? Qu’ils osaient laisser Dieu de côté ? Pire ! Qu’ils allaient de l’autre côté ! Qu’ils allaient maintenant voir l’ennemi, Satan lui - même ! Lui et ses jeux ! Interdisant tout contact avec ces personnes maléfiques, les enfants furent ainsi obligés de quitter l’école -ou plutôt la maternelle- et de prendre des cours par correspondance. Des cours bien évidemment très bien choisis étant donnés qu’ils avaient demandé -comme au bon vieux temps- à des prêtres ou à des catholiques d’enseigner aux petits qui ne pensaient toujours pas à mal. Pour eux, c’était juste normal étant donné qu’ils étaient riches. Et, à partir de ce moment là, le calvaire dans cette famille qui était auparavant calme, put commencer.


Très vite interdits de tout, Aoki pourrait décrire cette partie de sa vie comme la plus lente et la plus ennuyeuse qu’il aie eu. Oui. C’était plat. Il faisait la même chose tous les jours, il priait tous les jours pour un esprit qui n’existait pas à ses yeux, il devait suivre à la lettre chaque règle appliquée dans chaque pièce par ses parents. Et pire encore, il ne pouvait que lire dans sa chambre des ouvrages en rapport avec la religion et dessiner. Dessiner encore et encore. Sans qu’il n’y ait de fin. Il se demandait bien ce que pouvaient faire ses parents pour s’occuper tous les jours. Il faisait en même temps en sorte d’être parfait dans les études même s’il avait énormément du mal avec. Et tout ça pour quoi ? Pour pouvoir continuer de vivre sa vie sans interrompre le calme quotidien auquel il avait le droit. Il était généralement discret et était l’oublié de la famille, mais il s’en fichait éperdument.
Malheureusement, tout s’interrompit du jour au lendemain, alors qu’il n’avait que neuf ans. Les jumeaux, partis ensemble au parc s’amuser un peu ne revenaient pas et ne donnaient aucune trace d’eux. Les parents étaient fous de désespoir. Ils avaient beau eu les chercher dans les moindres recoins de la ville, c’était impossible de trouver une empreinte, un objet qui leur appartenait. C’était en faite comme s’ils s’étaient volatilisés dans la nature. Et la police les considéra finalement comme mort après plusieurs mois de recherche. Mais là n’était pas le sujet étant donné qu’Aoki avait du accepter la disparition sans broncher, sans pouvoir prendre la parole et rassurer ses parents qui s’étaient juste mis à le rejeter un peu plus en ne pensant qu’aux disparus. Qu’à ceux qui étaient morts officiellement. Ils se lamentaient en permanence, il se demandaient pourquoi c’était tombé sur eux, pourquoi est - ce qu’il fallait que les plus fidèles de Dieu connaissent ainsi la perde d’un proche. Pire. Pourquoi fallait - il que ça tombe sur leurs enfants ? Les plus beaux, les plus intelligents qui existent.
N’ayant plus l’envie ni le moral de s’occuper du petit restant, Aoki fut envoyé en pensionnat -religieux bien évidemment- et n’eut aucune trace ni nouvelles de ses parents qui l’avaient tant chéri dans le passé. Oui. Du jour au lendemain, il avait de nouveau été interné dans un établissement qui allait lui enseigner tout ce dont il était censé savoir. Que ce soit pour l’éducation comme dans la religion. Le pauvre avait déjà l’impression de connaître la Bible par coeur et de juste avoir eu le cerveau lavé depuis sa naissance. Il ne comprenait pas vraiment. Ses parents continuaient de vivre et il savait que s’il causait trop de problèmes, il allait être renvoyé vers eux. Mais à quoi est - ce que tout cela pouvait bien servir s’il allait se faire disputer après tout ? Eux, tout ce dont ils voulaient, c’était de retrouver les jumeaux qui avaient un destin prometteur vu leur génie. Et ça les désolait au plus au point.


Les études continuant lentement, Aoki, persuadé qu’il allait plaire à ses parents, fit la rencontre de plusieurs camarades et en particuliers de deux garçons : l’un, Kagi, était tout aussi frêle et fragile que lui; et l’autre, Akira, grandissait à une vitesse folle pour son jeune âge. Tout le monde se demandait bien comment il faisait et ce qu’il pouvait bien manger pour atteindre une taille de géant alors qu’il n’avait même pas terminé sa croissance en faite. Mais il s’en fichait de cette différence Aoki, tout ce qui lui faisait plaisir, c’était de pouvoir parler avec des personnes qui avaient les mêmes pensées que lui, qui pouvaient lui enseigner des choses qu’il ne connaissait pas, qu’il n’avait jamais pu découvrir. Il apprit ainsi que, oui, les jeux étaient amusants, qu’ils n’étaient pas si satanistes que ça en vrai et que c’en était même reposant des fois ! Ca permettait par exemple de se calmer il paraissait. Et ça rendait vraiment le jeune adolescent fou de curiosité. Il voulait à tout prix savoir ce que c’était. Il voulait à tout prix essayer d’y jouer un jour.
Passant trois ans de sa vie dans cet internat religieux, Aoki commençait tout bonnement à en avoir marre d’entendre en permanence des éloges à Dieu. Lui n’y croyait pas, il n’arrivait pas à y croire en faite. Il était une personne assez réaliste au fond et avait énormément du mal à se dire qu’un esprit, que quelqu’un avait créé l’univers ainsi. C’était assez étrange ! Et puis même, il en avait marre qu’on essaie de lui laver le cerveau en permanence. On lui disait tout le temps que faire telle chose était bien, que tout ceux qui ne le faisaient pas étaient le mal. Pire. Qu’ils étaient ses ennemis. Alors qu’eux avaient une sorte de liberté ! Et c’était vraiment la pire sensation qu’Aoki avait : ne pas être libre de ses mouvements et de ses choix. Il n’arrivait pas à comprendre, ou plutôt, il ne voulait pas comprendre. Ses parents avaient toujours essayé de mettre en place ces règles, mais au contraire, ça les excluaient de la société ! Ils ne pouvait pas vivre sans se soucier de ce que Dieu en pensait ? Mais alors, à quoi cela pouvait bien servir. C’était juste … idiot. Surtout vu comment le Créateur avait agi, pour Aoki, ce n’était juste qu’un horrible homme qui s’amusait à prendre ses proches, à les faire mourir sous ses yeux. Oui. C’était un meurtrier qui osait interrompre le calme et la sénérité de sa chère famille.


Pus, tout d’un coup, ce fut le noir complet. Il avait beau essayé de se remémorer de ce qui avait pu se passer ensuite, il n’y arrivait pas. C’était comme si, ce jour là, il s’était juste évanoui et avait comaté. Oui voilà. Peut - être que Dieu avait compris à quel point il le haïssait et qu’il était venu le prévenir en faite que, la prochaine fois, ça allait être définitif.
Mais en tout cas, on pouvait dire une chose. Le petit n’avait en mémoire que le cri de Kagi en tête, il entendait ce cri résonner, encore et encore, jusqu’à lui taper le crâne, jusqu’à le faire crier à son tour. C’était quelque - chose de vraiment insupportable et de douloureux pour lui. Encore et encore en faite.
Et il n’arrivait vraiment ps à comprendre ce qui avait bien pu se passer ce jour là. Car, quand ce long moment de vide s’arrêta enfin, la première chose dont il se remémorait était la douceur de son lit et la chaleur apaisante de son ami juste à côté. Oui. Il était désormais persuadé qu’il s’était juste endormi depuis plusieurs jours et qu’il ne se souvenait pas d’avoir invité Akira dormir avec lui. Mais ça lui allait parfaitement. Et il sortit de sa chambre d’un air lent, fixé par des regards effarés, méfiants, haineux et étranges. Selon une rumeur, il n’avait pas été là depuis plusieurs jours et s’était même absenté des cours sans donner une seule nouvelle. Ce qui était vraiment douteux en faite pour une certaine raison. Les élèves en était sûrs maintenant. Il était “coupable”. Coupable de quoi ? Il n’en avait aucune idée. Et quand son meilleur ami se réveilla enfin pour le rassurer, la première annonce qu’il lui fit fut malheureusement des plus affligeantes. Oui. Kagi était mort pendant son absence et Aoki comprit alors de quoi il était coupable. C’était évidant, il avait du le tuer. Pourquoi ? Il n’en avait aucune idée, mais c’était logique ! Il n’y avait que lui qui avait pu le tuer et ç’avait toujours été ainsi. Il était le fautif de tout. Si ça se trouvait, c’était aussi de sa faute si les jumeaux avaient disparus du jour au lendemain. C’était aussi de sa faute si ses parents ne voulaient plus lui parler alors qu’il était dans ce pensionnat. Il n’avait pas assez travaillé sûrement. Mais là n’était pas le sujet.


Accusé à tort d’avoir tué son meilleure ami, Aoki fut dès le lendemain, renvoyé du pensionnat sans qu’il n’ait son mot à dire. Tout le monde avait rejeté la faute sur lui en même temps. C’était impossible qu’il s’en sorte alors on l’avait juste laisser filer le temps qu’il soit tranquille. Mais lui s’en fichait. Il gardait contact avec son meilleur ami -le seul restant- et continuait de lui parler en faisant comme si de rien n’était. Car oui, tant que ses parents lui parlaient encore, tout lui allait. Il avait été accueilli chaleureusement et s’était fait couvrir de baisers dès son retour. C’était pour eux impossible que leur bout de chou soit le fautif. Eux qui adulaient tant Dieu, il leur était inconcevable que leur enfant ne soit tombé dan sles mains du Diable. C’était, par pure logique, un piège venant des satanistes et de tous les autres humains sur Terre. Selon eux, les seuls qui étaient “bons” et “dignes de confiance” étaient la famille Suzume. Oui. C’était les seuls qui l’étaient !  Et, assurés, ils aidèrent Aoki à regagner ses habitudes de croyant, de fidèle, en lui dictant son comportement tous les jours, en permanence. Cette fois, ils refusaient de le renvoyer dans un de ces pensionnats qui voulait juste lui laver le cerveau. Mais pas dans le même sens qu’Aoki pouvait penser. Pour eux, c’était pour qu’il devienne sataniste. Pour le jeune, c’était juste pour qu’il devienne catholique. La famille n’avait plus du tout la même entente désormais, c’était devenu incroyablement épuisant, ils n’en pouvaient plus de ne pas avoir ces mêmes idées. C’était impossible pour eux de communiquer sans qu’il n’y ait une injure, une insulte.
Et ainsi, les parents tentant tant bien que mal de faire de leur fils un enfant modèle, ils passèrent à l’étape supérieure pour tout lui apprendre. Tout d’abord par de simples engueulades, cela s’empira petit à petit en passant par les claques,  puis des coups un peu plus violents de la part de sa mère au niveau de son torse avant que ça ne termine aux coups de ceintures sur son dos. Maltraité autant physiquement que mentalement, Aoki avait beau faire le plus d’efforts, il commençait vraiment à haïr cette religion et se sentait atrocement mal.
Gardant contact avec Kagi tant bien que mal, il se demandait sur quoi il était tombé. Il n’avait pas l’impression d’avoir faire quoique ce soit de mal. Alors, sans s’y attendre, avec le temps passé, il commença petit à petit à s’attacher à son meilleur ami. C’était étrange n’est - ce pas, à quel point il pouvait l’aimer et à quel point il voulait le voir en faite. Quelle bonne excuse que de dire qu’on appréciait les baisers des étrangers, il pouvait librement profiter de ceux de Kagi sans qu’il ne se doute de rien. Quel bonheur de dire qu’on était tactile, ainsi on pouvait prendre dans ses bras l’autre sans aucun problèmes. Que de joie de pouvoir dire qu’il n’avait de toute façon personne d’autres. Ca lui laissait encore plus de temps avec son ami. Aoki était décidé, il allait se déclarer oui. Il le comptait bien.


<< Ecoute Kagi. Je - .. >>


<< Dis Aoki ! Ca te dit de jouer à Sword Art Online ? >>


Coupé dans son élan, l’enfant n’eut même pas le temps de comprendre de quoi son ami parlait qu’il fut entraîné dans les boutiques, à faire la queue, à attendre avec lui en lui serrant la main. Il n’avait pas pu se déclarer malheureusement. Oui voilà. C’était tout ce qui l’importait. Ses parents ne savaient même pas qu’il était parti acheter un jeu, son tout premier bien évidemment.
Passant chez Kagi pour l’essayer, ce fut ainsi qu’Aoki se retrouva là, assit dans ce coin d’herbe à attendre. Il ne savait même pas à quoi allait ressembler son ami. Tout ce qu’il savait était qu’il allait s’appeler “Joker”. Du coup, il attendait, patiemment.


Découvrant avec lui l’horrible nouvelle, obligé de rester à SAO toute sa vie, Aoki se lança juste après. Décidé à ce que tout soit réalisé, décidé à ce qu’il n’ait aucun remord :


<< Je - .. Kagi je t’aime … >>


Et alors qu’il pensait avoir une relation d’amour réciproque, celui - ci lui demanda d’attendre, incertain de ses sentiments envers le petit. Du coup, à quoi était - il censé penser ? Il resta collé à son ami, vivant avec lui, l’attendant patiemment revenir des combats sans trop oser lui parler. Ils étaient toujours aussi proches, bien évidemment, mais Aoki n’avait jamais eu sa réponse au final et il continuait d’attendre. Continuant encore et encore.


Jusqu’au jour où Kagi se décida de l’emmener avec lui dans une de ses missions. C’était peut - être bien la dernière fois qu’il allait le voir en faite, mais Aoki tenait à l’accompagner, même s’il pouvait mourir à cause de son manque d’expérience.


<< Oh. Aoki. Je … te donnerais une réponse après la mission d’accord … ? >>


  



Personnage

☆ Pseudonyme ~ H e a v e n s.
☆ Caractéristiques ~ Son personnage a une réactivité assez élevée. Il est au niveau 15 grâce à toute la cuisine qu’il fait. Ca reste tout de même un innocent joueur qui ne sait même pas ce qu’est un Player Kiler.
☆ Arme(s) ~ Il a une faux de deux mètres qu’il n’utilise quasiment jamais car elle est trop lourde pour lui.
☆ Capacités spéciales ~
- En faisant un tour sur soi - même, la faux dégage une puissante aura magique et blesse les ennemis qui se trouvent jusqu'à 5 mètres de distance.
- La faux est capable de changer de forme. Aoki ne le sait toujours pas.



Autres

☆ Prénom / Surnom ~ Kuro. Paske yolo,
☆ Âge ~ 15 ans -bientôt mais chut-
☆ Niveau au rp ~ Il est bien .. je dirais ?
☆ C0de ~ Code validé par mad’moiselle l’admin /o/
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H e a v e n s ~ E - Enfin. Bonjour ... je .. suis Ao - Heavens ! Je suis Heavens !
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